La Ville s’acharne à vouloir construire à la mauvaise place, un projet socialement utile
Source: Droit de parole, Marc Boutin, 16 octobre 2014 Dans une conférence de presse que le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) a tenu au Tam Tam Café le 24 septembre dernier, la porte-parole Véronique Laflamme a tenu à préciser que la notion de droit au logement comprenait beaucoup plus que le fait de réclamer «un toit» à un prix raisonnable. Font aussi partie du droit au logement, l’accès à des services de proximité, à des espaces verts et à des lieux de loisirs mais aussi le fait de vivre dans un quartier démocratiquement vivant, où le citoyen a un mot à dire sur l’avenir et le développement de son milieu et où il est possible de s’enrichir culturellement avec des lieux prévus à cet effet.En d’autres mots, pour ceux et celles qui font de la lutte à la pauvreté une priorité, la richesse collective est tout aussi importante que la richesse privée et la perte d’un équipement public et communautaire dans un quartier populaire contribue à l’appauvrissement de tous. (…)[ Tout l’article. À lire aussi: L’avenir du Centre Durocher: vouloir et pouvoir et Joyaux menacés: la maison Bignell et le centre Durocher. ]
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