Source : Le Soleil, Sophie Grenier-Héroux, 9 avril 2014 (…) On dénombre près d’une quarantaine de jardins communautaires et collectifs sur le territoire de la ville de Québec, de Cap-Rouge jusqu’à la Haute-Saint-Charles. Offerts par la Ville, mais gérés par des bénévoles, ils ont été mis en place pour permettre aux gens d’acquérir et de développer des connaissances en jardinage, pour promouvoir la pratique d’une activité en plein air et pour créer des liens d’entraide et d’échange entre les citoyens.Dans les faits, ces jardins permettent surtout aux gens qui n’ont pas accès à un terrain de pouvoir malgré tout cultiver un potager et de consommer des aliments frais et locaux en saison estivale. Ils aident aussi financièrement, en diminuant le coût du panier d’épicerie. (…)Au jardin du collectif Craque-Bitume, un animateur est employé pour prendre soin des deux jardins et pour déléguer les tâches entre la quinzaine de participants qui aident deux fois par semaine. Ils peuvent ainsi en apprendre davantage sur les semis, le jardinage sur le toit, dans le sol et le compostage urbain. (…)L’engouement croissant ces dernières années pour les jardins communautaires et collectifs a augmenté l’écart entre l’offre et la demande. Le système de liste d’attente a donc été remanié en 2011 pour parvenir à offrir une place à tous les intéressés. Il faut s’adresser à son bureau d’arrondissement qui redirige les citoyens vers la personne responsable du jardin le plus près de leur domicile.Les résidants du quartier ont priorité, puis les gens de l’arrondissement. Un seul lot est offert par foyer. (…)Pour plus d’information : goo.gl/AgKvKv[ Tout l’article ]