Source : Le Soleil, Marie-Pier Duplessis, 14 août 2012 On pourrait croire que pour tenir un restaurant comme La Poutinerie, où l’on sert au-delà de 100 variétés de poutines, il faut être un maniaque incontestable du fameux plat qui fait la fierté des Québécois. Et si vous appreniez que vous aviez plutôt affaire à un ancien cuisinier du Consulat général des États-Unis à Québec?