La COVID-19 : un gros impact sur la jeunesse?

D’un clin d’œil, nos quotidiens ont changé drastiquement. Partant de notre éducation jusqu’aux déplacements et aux rassemblements, beaucoup de nos activités quotidiennes ont strictement changé. D’autre part, l’annulation des activités de loisirs, parascolaires ou même le fait que les étudiants collégiaux et universitaires n’ont pas pu avoir une rentrée convenable peuvent-ils avoir un impact négatif sur le moral des adolescents ou jeunes adultes québécois?

La COVID-19 : un gros impact sur la jeunesse? | 25 février 2021 | Article par tonQuartier

Crédit photo: Cottonbro - Pexels

Collaboration spéciale : Sarah Hassan, Le Bourgogne et or, journal étudiant du Collège Saint-Charles-Garnier, février 2021.

D’un clin d’œil, nos quotidiens ont changé drastiquement. Partant de notre éducation jusqu’aux déplacements et aux rassemblements, beaucoup de nos activités quotidiennes ont strictement changé. D’autre part, l’annulation des activités de loisirs, parascolaires ou même le fait que les étudiants collégiaux et universitaires n’ont pas pu avoir une rentrée convenable peuvent-ils avoir un impact négatif sur le moral des adolescents ou jeunes adultes québécois?

La problématique

Ces années primordiales au développement de plusieurs milliers de jeunes ont maintenant basculé en raison de la pandémie. Malgré les efforts appréciables du gouvernement québécois, la santé mentale est encore un gros enjeu. Les restrictions sociales et les annulations en masse des loisirs en ont affecté plusieurs. L’amplification du temps passé sur les écrans peut devenir malsaine. De plus, de mauvaises habitudes peuvent être acquises au fil des jours. Tous ces facteurs peuvent être en majeure partie une des sources d’anxiété présentement.

Sentiment de solitude, redondance et réseaux sociaux

Les confinements répétitifs et les annonces de nombre de cas en hausse hebdomadaires peuvent amplifier le sentiment de solitude. Une journée après l’autre ressemble plus ou moins à la même chose. La diffusion d’articles anxiogènes sur les réseaux sociaux n’aide pas. Une redondance remarquable peut faire baisser le moral de beaucoup. Selon plusieurs sources et études, les jeunes seraient plus susceptibles d’avoir des problèmes de santé mentale à cause des réseaux sociaux. Des vies parfaites et des expectations irréalistes constamment affichées aux yeux des jeunes en ce temps où plusieurs situations familiales, financières ou sociales ont changé, ne sont en aucun cas bénéfiques. Ce qui attriste le plus, c’est comment plusieurs compagnies et marchés ont tenu pour acquis le malheur de ces personnes pour les rendre profitables. Toute cette exposition persistante est à être gérée avec ingéniosité.

Des solutions pour contourner ces problématiques

Pour conclure, voici certaines recommandations pour vivre une transition saine en ces temps spéciaux.

  • Savoir prendre une pause : En effet, prendre une pause et passer du temps sans être devant un écran est bénéfique. Ils sont déjà très présents dans nos vies, une utilisation excessive n’est pas favorable.
  • Avoir un emploi du temps : Procrastiner est toujours une option facile, mais il faut savoir s’organiser pour pouvoir être productif et pour ne pas avoir de stress supplémentaire.
  • Sortir au moins une fois par jour : Malgré la distanciation sociale obligatoire, prendre l’air avec un membre de sa famille et changer d’environnement est bienfaiteur pour le moral.

Si vous sentez que vous n’allez pas bien, vous pouvez toujours obtenir de l’aide sur jeunessejecoute.ca. Des services gratuits sont offerts 24/7 et vous pouvez appeler ou clavarder en toute confidentialité.

Source : INESSS

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